Je termine de fumer la moquette,,,je repasserai, promis vous que z'aime encore beaucoup,,,,,lol

Quand elle est vraiment personnelle et jaillie des origines, la prière se trouve à la limite de la pensée philosophique, elle devient philosophie dans l'instant où s'abolit toute relation intéressée avec la divinité

L'homme est une plante qui porte des pensées, comme un rosier porte des roses et un pommier des pommes.



nous avons tendance à prêter des fonctionnements mentaux aux autres équivalents aux nôtres, à comprendre les autres comme si tout le monde possédait le même fonctionnement mental. Et comme beaucoup de gens ont perdu le sens de la compréhension élémentaire et intuitive des choses dites « matérielles » (le bon sens), ils projettent alors sur les autres leurs propres incapacités, et de ce fait interprètent certains comportements, en fait d'une complexité et d’une finesse supérieure, de manière erronée et inverse de ce qu'ils sont.

Au final, c'est une manière de montrer comment la rêverie, ou l'activité de l'imaginaire, peut amener à autre chose que le rêve (irréaliste); à contribuer à une meilleure conscience des choses... Et aussi et surtout, comment des idées peuvent naître à partir d'observations, d'intuitions, de questionnements, puis aboutir à l'aide de raisonnements (réflexions, pensées). Et c'est enfin et naturellement la possibilité de faire des remarques pertinentes.

Une tite taf?

certains d'entre nous seraient donc sans limites dans leur réalisations ; j'y crois pas! ^^ j'veux en être!



La rationalité, la logique du discours sont autant de philtres (limites,conditionneurs(?)) pour une pensée quelque peu philosophique que les yeux pour la vue. Ce qui est vu est déjà filtré, conditionné, par le sens de la vu ; ce qui est vu peut ensuite être idéé, ce qui est idéé est filtré lors de sa formation même, par une façon de concevoir, par une technique; mais aussi par la morale par exemple. Mais ce n'est que ce que m'a raconté l'facteur alors que j'allais vider les poubelles. L'artisan a un but, un objet finalisé en tête, une technique pour transformer la matière à volonté ; au contraire, il me parait pernicieux de partir fumer de l'herbe à philo en aillant déjà l'effet en tête. Le choix de la technique pourra donner à l'avance le genre d'idée trouvées, mais pas l'idée, et surtout je suis déjà gravement hors sujet, mais dois-je limiter ma réalisation par une pensée restreinte à un sujet donné? à un objet qui deviendrait sujet? c'est qui/ quoi qui fume qui/quoi dans l'histoire? Le penseur ou la pensée? j'ai des vertiges, je crois -ça fait quelque temps que j'en ai pas grillée une ici, 'ai plus l'habitude.



La pensée a autant de philtre que d'étapes. Mais je ne dirais pas qu'une pensée spontanée, qui limite donc sont nombre de philtres est une pensée complète, c'est très bien pour les armes martiaux comme dit ici: ( http://www.generation-tao.com/publications/articles/les-coulisses-de-la-pensee,489 (y-a une petite suite du texte, note le travaille dans l'sourire, quelle réalisation! haha), mais pour la pensée c'est un bourrage de pipe aux lieux communs et autres mauvaises herbes filtrantes. Si la non-pensée menait à la vérité mais tout le monde saurait tout depuis longtemps déjà ^^



Il me semble que les spiritualités en générale ne tolèrent pas trop le doute, j'ai pas de bouquin avec moi là mais il y a des textes explicites ,) dans les arts martiaux évidement que le doute est une erreur, mais appliquer ça à la pensée... nan je dis ça et me répète là parce que je viens de voir que le titre du texte c'est "La spirale du doute et de la certitude". Dommage que la suite soit payante, d'ailleurs si tu veux en savoir plus t'as déjà mon rib pour un versement >>>