anonymous
2009-09-06 07:45:49 UTC
J'aurais aimer débattre avec chacun de vous pour mieux "cerner" la mort.
Pour le moment tout ce que je sais :
C'est grâce à ma propre expérience face à la mort, l'expérience des autres face à elle, les récits des gens, l'interprétation des autres ou de wiki (http://fr.wikipedia.org/wiki/Mort), que j'arrive à m'en faire une idée et à prendre conscience d'elle.
Mais réellement, je ... nous, ne savons rien sur elle, et cela contribue aussi à grandir ma seul et unique peur dans ce monde, la peur de la mort !
La vie, la mort, le temps, non franchement, quelque soit nos interprétation (croyante ou pas), nos définition, nos symbole les représentants, nous ne savons vraiment rien d'eux !
ça m'excite d'un côté car, qui dit inconnue dit "je dois savoir", mais en même temps .... comment et surtout est-ce possible ?
je veux dire par là, outre passer les verrou technologique, ou physique, est-ce que notre cerveau peut "concevoir" ce qu'il en serait en réalité ?
Car, quand nous disons, pour faire le "sage" : 'notre pire ennemis c'est nous même'; ce n'est pas pour rien !
Notre pire ennemis c'est notre conscience/inconscience/notre cerveau, car il agis et nous fait croire ou penser des chose parfois (voir souvent) illogique, tout ça pour nous protéger de la folie (des trouble émotionnel ou des prise de conscience trop forte pour être supporter correctement) ou d'un dysfonctionnement (ça encore c'est quelque chose que je trouve incroyable et qui m'intéresse aussi).
Quand la mort arrive, nous utilisons tous la même chose, que l'on soit croyant ou pas, c'est la fatalité, l'abondant !
pourquoi, pour ne pas subir toute cette pression psychologique que serait la réalité: nous allons disparaitre à tout jamais (que se soit quelque part ou pas, en interaction avec les autres ou pas) ?
Si seulement je pouvais me convaire logiquement que quelqu'un m'attende de l'autre côté, alors je serais en accords avec mon instint de survie qui ne peux pas concevoir ne plus exister.
Et si il y avait vraiment quelqu'un la premier chose que je ferais c'est lui foutre une paire de claque avec un: "et c'est maintenant que tu me le fait comprendre ? Rembourser ! "
Je veux bien écouter certains dire: c'est dieu, je ne les croyrais pas, car leur croyance est fondé sur des récit et des histoires complétement fausse et très mal intérpreter pour des raison qui n'intervienne plus à notre époque.
Quant au autre qui diront: 'j'ai vue ça' comme plein d'autre, je dirais, attend dans 150 ans, si les guerre ne nous finisse pas, se sera les technologie, lorsqu'elle nous ferond prendre conscience, a chacun de nous, que ce que nous pensons avoir vue ou entandu n'est rien d'autre que des tours de passe passe de notre cerveau ! (collectif ou pas)
Ou alors tout ce qui ont des "dont" (en rapport avec la vie et le temps) vrai, ou faux, je reste très sceptique, jusqu'a ce que j'en croise vaiment un !
Ou encore ceux qui disent :'il n'y a absolument rien, c'est sur à 3000%, c'est ton cerveau qui te fait vouloir croire à ça sous peine de sombrer dans la folie', comment dire, NON, je veux encore croire à ce petit espoir que ce n'est pas mon cerveau qui me joue des tours, pour ne pas admettre que les instant que j'ai vécu, que je vis et que vivrais, seront les seul et unique dans toutes cette infinité de temps et d'espace et que ma conscience n'existera plus; pour finir fataliste, mais finir avec le sourire, le même sourire que les enfants de 5 ans ont quand ils croivent au pére noel !
Je n'ais pas peur de la vie, de la façon dont je vais mourir, de savoir que je serais fataliste , ou de risquer ma vie pour ça ou ci, ou tout ce qui concerne la vie.
J'ai peur uniquement de la mort et des nuit que je passe de temps en temps (c'est très rare, je vous rassure) à prendre conscience de ce qu'est la mort et de trembler de peur comme une petite fillette quand j'y pense, parce que je prend conscience que la vie, qu'elle soit merdique ou pas, reste quand même le plus beau des cadeaux (du pere noel) !
vous en pensez quoi ?
Merci à ceux qui aurait tout lu, et désoler pour les fautes de frappe d'orthographe ... on peux pas dire que se soit mon fort !