Certes, il y a nature et raison, il n'empêche que nos instincts naturels sont ancrés en nous, alors que la raison est un concept que nous apprenons à développer au cours des années.
Tout est une question de choix : s'il n'y a aucune obligation à manger de la viande, il n'y a pas non plus obligation d'être végétarien ou végétalien. Tout comme la copulation, pour reprendre ton exemple : pour certains, c'est un plaisir souvent pratiqué, pour d'autres, il s'agit de luxure.
Je trouve curieux cette opposition entre "viandards", pour reprendre ce terme peu élégant employé plus haut, et végétariens. Que chacun trouve son plaisir dans son assiette, pourvu que celle-ci reste équilibrée !
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Si notre métabolisme avait évolué au même titre que notre raison, les choses seraient différentes !
La question de la souffrance infligée aux animaux est un autre problème, l'ère industrielle a fait des animaux de boucherie de la simple matière première, c'est vrai. Mais en Auvergne, en Corse, dans le Sud Ouest, pour ne citer que les régions que je connais, il en est tout autrement.
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Euh, il y a bien plus que des protéines et des lipides, il y a aussi du plaisir, et un immense héritage culinaire !
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Je te dis juste qu'il y a autre chose que de la matière dans le fait de manger de la viande. Pour ce qui est de la question morale, j'en parle dans le début de ma réponse.
Libre à toi d'être végétarien, je n'y vois aucun inconvénient. Peut-être devrais tu mieux accepter le fait que tout le monde ne partage pas tes goûts ?!